NUTRINET SANTE veut faire avancer la science

Et si vous participiez à l’étude NUTRINET SANTE ? C’est un bon moyen d’aider à faire avancer les connaissances scientifiques en matière de nutrition.

Les maladies chroniques liées à notre société d’abondance ne cessent de progresser. Diabète de type II, obésité, maladies cardio-vasculaires, cancers, dyslipidémies (cholestérol ou triglycérides) : nous connaissons forcément quelqu’un touché par l’une de ces pathologies.

La façon de s’alimenter joue un rôle déterminant mais les facteurs génétiques, biologiques et environnementaux interviennent également dans l’apparition de ces maladies. Pour mettre en évidence l’effet spécifique de la nutrition, NUTRINET SANTE a lancé depuis 2009 une étude franco-belge de grande ampleur pour recueillir des données précises. Il s’agit des habitudes de consommation mais aussi de l’activité physique, du poids, du tabagisme, des antécédents familiaux…

Que vous soyez bien portant(e) ou touché(e) par une maladie, je vous encourage vivement à participer à cette étude. Plus elle portera sur un grand nombre de personnes, plus elle fournira des réponses précises. Ce n’est pas très contraignant car il suffit de compléter quelques questionnaires en ligne sur votre santé, vos habitudes et réaliser des relevés alimentaires (en 5 mois, on ne m’a sollicitée que pour 6 jours de relevés). La participation est bénévole et n’induit aucun frais.

Voici le type de conclusions auxquelles NUTRINET SANTE a déjà abouti au bout de 15 ans d’existence :

  • La consommation régulière d’aliments biologiques est associée à un risque réduit d’obésité, de diabète de type 2, de cancer du sein post-ménopause et de lymphome non-hodgkinien.
  • Une augmentation de 10 % de la proportion d’aliments ultra-transformés dans le régime alimentaire est associée à une augmentation de 10% des risques de cancer au global et de cancer du sein.
  • Il existe une association significative entre la consommation d’aliments ultra-transformés et l’insomnie chronique, indépendamment du statut socio-économique, du mode de vie et de l’état de santé mentale.
  • Il existe des associations significatives entre les apports en glucides et l’évolution de l’état d’anxiété.
  • Il existe des associations entre des apports plus élevés en carraghénanes et en mono- et diglycérides d’acides gras avec le risque de cancer global, de cancer du sein et de cancer de la prostate.
  • Des apports élevés en nitrites alimentaires sont associés à un risque plus élevé de diabète de type 2 et d’hypertension.
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